robinet, eau potable
© Adobe
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
A l’occasion du Carrefour des gestions locales de l’eau à Rennes, les 29 et 30 janvier, le Cercle français de l’eau (CFE) a présenté les conclusions de trois débats organisés autour de l’eau - sa distribution, sa gouvernance, son financement - comme enjeu de débat, et parfois de polémique, aux élections municipales.
« Nous parlons aujourd’hui des municipales, mais c’est peut-être la dernière fois que nous vivons ces élections ! Car il faut inventer la commune de demain et en réalité, pour l’eau, le véritable enjeu se situe à l’échelle intercommunale. La gestion de l’eau potable mérite une vraie légitimité populaire » a commencé Thierry Burlot, nouveau président du Cercle français de l’eau (CFE) et président du comité de bassin de l’agence de l’eau Loire-Bretagne. La première conclusion des débats est donc la nécessaire montée en puissance des EPCI sur le sujet de l’eau, petit et grand cycle, en associant la société civile
Modifier la dotation globale de fonctionnement
Le second point mis en avant est le renforcement de la solidarité territoriale amont/aval et villes/campagnes. « Il faut prendre en compte la protection de l’eau assurée par les zones rurales, à elles seules, pour les zones urbaines. Or,[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr