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le Courrier des Maires - édition Abonné
Un temps envisagé, la baisse du scrutin de liste, paritaire, en deçà du seuil de 1 000 âmes pour les municipales n’est plus d’actualité. A moins que le législateur revienne sur son vote au regard des résultats du scrutin de 2020... Deux maires ruraux débattent de la mesure.
« Le discours consistant à dire que les femmes ne veulent pas s’engager, c’est du baratin de la part de ceux qui ne veulent pas de la parité ! »
Alexis Monier, maire (majorité présidentielle) de Menet (Cantal, 570 hab.)
"Je suis très favorable au scrutin de liste, pour toutes les communes. Car, dans les plus petites, quand on n’est pas content de quelqu’un ou qu’il y a eu des problèmes de famille, on n’est pas du tout dans la réflexion sur l’intérêt municipal, mais sur les affinités personnelles. Or ce n’est pas avec ça qu’on gère une commune. Avec la liste, on sait sur qui on va tomber puisque même les battus ont des représentants. Comme les gens se présentent avec leurs compétences, on sait qu’on aura au moins les têtes de liste, et non pas ceux qui sont juste sympathiques…
Fonction pointue. Si l’on veut aller vers une vraie qualité d’élu - puisque les fonctions de maire et de conseiller municipal deviennent de plus en plus[…]
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