Christophe Castaner lors de son audition au Sénat le 4 juin
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAuditionné par la délégation aux collectivités du Sénat, le ministre de l'Intérieur a confirmé qu'il n'était pas favorable à un vote par correspondance pour faciliter la participation électorale. Mais le ministre de l'Intérieur a annoncé d'autres mesures facilitant les procurations et précisé les conditions dans lesquelles l'Etat appuiera les communes dans leurs dépenses de sécurisation sanitaire du vote.
Faut-il permettre d'assouplir au maximum les conditions de vote lors du second tour des municipales afin de doper la participation ? Alors que le taux d’abstention s’annonce aussi élevé le 28 juin que lors du 15 mars, tous les moyens seraient bons pour convaincre les électeurs de se rendre aux urnes dans quatre semaines. Tous sauf un, selon le ministre de l’Intérieur : le vote par correspondance.
Interrogé lors de son audition par la délégation sénatoriale aux collectivités par le sénateur Jean-François Husson (LR, Meurthe-et-Moselle), Christophe Castaner a repoussé l’hypothèse. Et cette fois-ci en réfutant « la protection sanitaire » qu’offrirait un tel dispositif de vote. « Ce n’est pas le cas, a objecté l’ancien édile de Forcalquier. Si nous étions en capacité de le mettre en place d’ici le 28 juin, avec[…]
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