éoliennes
© Phovoir
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Pierre angulaire de la sobriété énergétique, de la lutte contre le changement climatique et de l’amélioration de la qualité de l’air, le plan climat-air-énergie territorial se conçoit comme un véritable projet de développement durable du territoire, à la fois stratégique et opérationnel. La loi de transition énergétique pour la croissance verte a étendu son périmètre pour renforcer son rôle.
1 - Mobiliser tous les élus
La loi sur la transition énergétique d’août 2015 a nommé les EPCI à fiscalité propre comme unique structure porteuse du plan climat-air-énergie territorial (PCAET). Cette obligation vise les EPCI de plus de 20 000 habitants pour la fin 2018. Ceux de plus de 50 000 habitants doivent avoir établi leur plan climat énergie territorial (PCET) depuis la fin 2016. Avec la loi Grenelle 2 (2010), les collectivités de plus de 50 000 habitants avaient déjà l’obligation de réaliser ce plan. La loi a éteint cette obligation, sauf pour les EPCI, et remplacé le PCET par le PCAET.
Implication des élus. De cette première salve, il apparaît que le portage politique du plan climat, établi pour une durée de six ans, est essentiel. Le choix de l’élu référent est donc un point clé. Il vaut mieux qu’un vice-président[…]
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