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© Clod (dessinateur)
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Les EPCI seront-ils de nouveau le parent pauvre des élections municipales de mars ? Nombre de maires semblent s’y employer en tentant d'exploiter les tensions et autres rivalités générées par la loi NOTRe. A la veille des municipales, la « crise de gouvernance » couvant dans les intercos XXL ne laisse effectivement pas présager de « Grand soir » en 2020 ni d'une quelconque mise en débat des enjeux intercommunaux avec le grand public. Une fois n'est pas coutume, les présidents d'intercos auront du mal à contraindre les maires de faire la promotion de leurs compétences, et de leur plus-value.
Pour les défenseurs de la cause communale, la campagne a déjà commencé. Non pas celle des municipales à venir, mais bien celle du statu quo institutionnel. « Nous sortons de deux décennies d’accélération de l’histoire intercommunale, mais le Sénat et certaines associations d’élus viennent de remettre en selle l’institution communale », constate le maire et président de la communauté de communes de Deauville, Philippe Augier.
Le maintien de la désignation des conseillers communautaires à partir des listes municipales, acquis pour le scrutin de mars 2020, ne semble pas avoir sustenté les « communalistes ». Revigorés par les récents[…]
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