© CHU de Toulouse
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Après une gestion chaotique de la pandémie de Covid-19 par l’Etat français, nombre d’élus espèrent faire entendre leurs voix sur les questions de santé lors de ce nouveau quinquennat. Et plaident pour une vaste réorganisation de notre système de santé, avec une refonte de la gouvernance à la clé renforçant la place des collectivités mais aussi le rôle des préfets nouvellement compétents sur le champ sanitaire à l’avenir. Sans remettre en cause, pour autant, la prédominance du pouvoir national… Ils voient dans ce chantier démocratique un remède à une hyper-centralisation qui, en dépit de ses promesses d’égalité, n’a pas permis de remédier à des dysfonctionnements et errements aussi dangereux que nombreux.
Les élus locaux n’ont pas vraiment découvert les enjeux territoriaux de santé avec la crise sanitaire. Contraints non seulement par une démographie médicale en berne mais aussi une forme d’impensé de l’Etat vis-à-vis des inégalités sociales en santé, les collectivités sont progressivement montées en compétences, tout au long des dernières années. Mais « la pandémie a très clairement fait remonter le sujet en haut de la pile de nos priorités » relève le co-président de la commission Santé de l’Association des maires de France[…]
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