Centre de santé mentale à Beaumont-sur-Oise
© P. Marais
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Coordonner tous les acteurs concernés par la souffrance psychique améliore la prise en charge des personnes et limite les situations de crise. Beaumont-sur-Oise (95), par exemple, a mis en place une "Equipe mobile" pour rencontrer les personnes souffrant de troubles psychiques et jeter un pont entre leurs difficultés sociales et leur prise en charge médicale (photo).
Article publié dans "Le Courrier des maires et des élus locaux", n° 268, mai 2013
Au départ, il y a souvent une crise : coup de folie en pleine rue, locataire ingérable, voisins exaspérés, expulsion… Démunis, les travailleurs sociaux, les agents municipaux ou la police finissent par en appeler au maire et à son pouvoir de police et d’hospitalisation d’office. Si, pour sortir de cette situation complexe, le maire rencontre le psychiatre et réunit les acteurs concernés, « des solutions émergent, alors que seul, chacun est impuissant », observe Laurent El Ghozi, président de l’association Elus, santé publique et territoires (ESPT).
« Alors, tout le monde y gagne et a envie de continuer. » Un outil peut encadrer un tel partenariat : le conseil local de santé mentale (CLSM). « Cette plateforme permet de coordonner la prise en charge de la santé mentale, d’élaborer[…]
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