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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLa réduction de la vacance commerciale dans les hypercentres des villes cache mal la déprise dont souffrent leurs périphéries, plus ou moins lointaines. Conscients des risques politiques que cette désertification commerciale fait courir, de plus en plus d’élus s’efforcent d’y densifier l’offre locale, en milieu urbain comme rural. Objectif : lutter contre le sentiment d’abandon et renforcer le lien social.
Rien n’y fait. En dépit des alertes massivement relayées par des « Gilets jaunes », des dispositifs d’exonération comme de l’ingénierie déployée par l’ANCT à travers notamment le programme « 1000 cafés » porté par le groupe SOS, des milliers de lotissements périurbains en déprise et villages-dortoirs continuent de faire office de « déserts » commerciaux. Après avoir vu les derniers bar-tabacs, boulangeries, épiceries et autres pharmacies mettre la clé sous la porte, ils souffrent toujours de l’absence de commerces du quotidien. Encore en 2022. Au-delà de la diagonale du vide et de l’hyper- ruralité, le constat vaut aussi pour les secondes et troisièmes couronnes de métropoles attractives.
« Le risque de voir éclore ou s’ancrer des déserts commerciaux existe aussi dans les quartiers prioritaires de la politique[…]
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