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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéJustice sociale, lutte contre les fractures territoriales, réindustrialisation, révolution numérique, transition écologique… S’ils souhaitent relever ces nombreux nouveaux défis qui les attendent, collectivités et Etat devront tôt ou tard se poser la question de la formation. Donc de l'université. Appartient-il aux établissements publics d’enseignement supérieur d’accompagner les grandes mutations de notre société ? Faire émerger des pôles d’excellence est-il par nature incompatible avec un maillage territorial équilibré ? Le président de « France Universités », à la tête de l'université Reims Champagne-Ardenne depuis 2016, Guillaume Gellé, répond aux questions du Courrier des maires.
Le Courrier des Maires : Le personnel politique local oppose souvent le « Big is beautiful », c’est-à-dire la concentration des moyens financiers sur quelques pôles universitaires d’excellence, à une répartition plus équitable des flux financiers sur l’ensemble des établissements d’études supérieures, dont ceux d’ambition plus modeste… Comment accueillez-vous cette controverse ?
Guillaume Gellé : Il y a ici un paradoxe. D'un côté, nous devons songer en effet au positionnement international de nos universités dans une compétition mondiale, notamment[…]
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