18_11_21_paris_75_103 eme congres. des maires_seance de cloture en presence d'annne hidalgo_emmanuel macron andre laignel david lisnard gerard larche francois baroin
© Fabien Calcavechia
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéÀ l’occasion de la conférence de presse de rentrée de l’AMF le 15 septembre, le président David Lisnard et son premier vice-président, André Laignel, n’ont pas caché leur agacement quant au contenu du projet de loi de finances 2023. La suppression de la CVAE et la limitation de la hausse des dépenses de fonctionnement à +0,5% ont du mal à passer.
« Il y a le ton et il y a le fond. Le ton change, mais pas le fond ». Une formule signée du maire (PS) d’Issoudun, André Laignel, qui résume assez bien les relations pour le moins en dent de scie que l’Association des maires de France entretient avec l’État, depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017.
Pourtant, le week-end du 3 septembre, le président de la République avait décroché son téléphone pour joindre son président, David Lisnard. Face au boycott annoncé de son grand Conseil national de la refondation prévue, le chef de l’État conviait les élus de « Territoires Unis » à l’Élysée le lundi suivant. Une discussion franche de deux heures et demie, rapporte le maire LR de Cannes, qui est ressorti avec quelques garanties dans sa besace, telles que la promesse d’un dialogue direct deux fois par an, l’assurance d’une participation stable (en euros[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr