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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPendant que l'exécutif, les parlementaires et les associations d'élus débattent de l'autonomie fiscale des collectivités, de la contractualisation budgétaire ou encore d'une future refonte fiscale, l'essau budgétaire continue à se resserer dans les collectivités, sur le terrain. Financièrement de plus en plus contraints, la plupart des élus n’ont déjà plus d’autres choix que d’actualiser le « modèle économique » des politiques locales. Qui des usagers ou des contribuables devront payer les services publics à l’avenir, et à quel degré ?
Alors que les lendemains s’annoncent chaque jour plus difficiles sur le plan financier, une nouvelle ère s’ouvre pour les élus supervisant la gestion des réseaux, infrastructures et services publics locaux. La faute, bien sûr, à l’encadrement des dépenses de fonctionnement des collectivités, ainsi qu’à la suppression de la taxe d’habitation - garantie sans perte de recettes jusqu’en 2021, en théorie... -, mais pas seulement. A l’instar du Pays de Nexon qui a profité de son mariage avec les Monts de Châlus pour instaurer une part incitative dans la taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères, les fusions d’intercommunalités obligent parfois les élus locaux à changer de modèle[…]
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