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le Courrier des Maires - édition Abonné
Le Sénat a adopté en séance plénière le 16 mars la proposition de loi "visant à faciliter la mise en œuvre des objectifs du zéro artificialisation nette au cœur des territoires". Plusieurs dispositions votées constituent des lignes rouges pour Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique.
Un objectif partagé par tous mais les voies pour y arriver dissonantes : le Zéro artificialisation nette (ZAN) continue à diviser, c’est ce qu’ont montré les débats en séance plénière au Sénat sur la proposition de loi portée par le sénateur (Les Républicains) du Vaucluse Jean-Baptiste Blanc, « visant à faciliter la mise en oeuvre les objectifs du zéro artificialisation nette au coeur des territoires ». Il ravive surtout l’opposition urbain – rural, même si comme l’a rappelé le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu lors des débats au sujet de la « garantie rurale », pour rappeler son opposition à la proposition du « un hectare par commune », « il y a plusieurs ruralités dans ce pays : un quart des communes rurales ont vu leur population diminuer mais ont cependant continué à construire en artificialisant des terres ».
Le ministre en ouverture des discussions s’est dit « dans l’état[…]
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