Abonné

Les régions veulent prendre la main sur les agences régionales de santé

Aurélien Hélias

Sujets relatifs :

, ,
1 commentaire

1 commentaire

HERMES - 03/03/2021 15h:37

Non, les Régions ne veulent pas prendre les ARS... Elle veulent simplement gérer toutes les politiques d'aménagements (pris au sens large du terme) sur leur territoire!Les Régions, depuis leur création, vivent toujours le même problème: qui parmi les sans dents les connait? Qui sait qui est le Président de leur Région?En conclusion, pour se faire une place au soleil, elles n'ont d'autre choix que de vouloir gérer le territoire régional. La loi les a dotées de certaines compétences. Mais elles en attendent d'autres pour être reconnues.Si je peux me permettre, je les mettrais en garde à la lecture de la fable de Jean de la Fontaine qui évoque la grenouille qui veut...

Répondre au commentaire | Signaler un abus

Les régions veulent prendre la main sur les agences régionales de santé

François Bonneau, président de la région Centre Val-de-Loire, président délégué de Régions de France

© Capture écran Assemblée nationale

Pour lire l'intégralité de cet article,

abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné

Au-delà d’une co-présidence des ARS partagée avec les préfets, les présidents de région réclament de pouvoir réellement participer aux projets régionaux de santé et ne pas se contenter de financer les murs d’hôpitaux ou de maisons de santé. C’est ce qu’a indiqué le n°2 de Régions de France et président de Centre Val-de-Loire François Bonneau (photo) aux députés le 1er mars.

« Des administrations assez verrouillées, assez verticalisées ». De nouveau, l’une des critiques les plus vives envers les agences régionales de santé est venue d’un élu local, en l’occurrence du patron de la région Centre Val-de-Loire, François Bonneau. « Les ARS, dans leur très forte verticalité, font problème car l’action publique sur le territoire a besoin de retrouver un déploiement qui s’articule avec des données territoriales qui appartiennent aux collectivités territoriales et à l’Etat déconcentré. Or la culture de l’horizontalité des ARS n’est pas très développée, c’est chromosome dans le package initial qui n’est pas particulièrement envahissant… » a piqué le président délégué de Régions de France entendu par les députés de la Mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la[…]

Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous

Déjà abonné ?

Mot de passe perdu

Pas encore abonné ?

Besoin d’aide pour vous connecter ?

Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr

FORMATIONS