Jeunesse, crise
© Adobe Stock
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Pour faire face à l’exacerbation des difficultés que connaissent de nombreux jeunes avec la crise sanitaire, l’association France Urbaine propose au gouvernement de l’accompagner dans le test grandeur nature de quatre politiques « jeunesse » différenciées. Le coût de l’opération est estimé à environ 4 200 euros par jeune et par an. Le gouvernement réserve sa réponse.
C’est la présidente de France Urbaine, Johanna Rolland, qui l’affirme, se faisant la porte-parole de tous les maires des grandes villes et métropoles : de nombreux jeunes sont aujourd’hui en « détresse » car durement frappés par les conséquences sociales et économiques de la crise sanitaire du Covid 19. Perte de leurs « petits boulots », difficultés d’accès aux soins ou au logement, si la question de la précarisation des jeunes n’est malheureusement pas une nouveauté pour ces élus locaux, « le phénomène atteint des proportions jamais connues jusque-là » insiste la maire (PS) de Nantes. Or, l’élue rappelle que « 75% des 18-24 ans habitent dans une zone urbaine et que les deux tiers des étudiants vivent dans une métropole».
Lire aussi : Un cataclysme social chez les jeunes urbains… annonciateur de progrès ?
4 scénarios, 12 métropoles-test, 12[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr