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Les priorités vaccinales à l’épreuve des inégalités sociales

Les priorités vaccinales à l’épreuve des inégalités sociales

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En Seine-Saint-Denis ou à Mayotte, la surmortalité a été plus importante l'an dernier, en plein cœur de la crise sanitaire. Comment expliquer alors qu'on vaccine moins dans ces territoires ? De l'effet social au "nomadisme vaccinal", les explications sont variées...

En Seine-Saint-Denis, l’épidémie a été plus meurtrière qu’ailleurs. En 2020, il y a eu 20% de morts de plus que l’année précédente. Et pourtant, le département figurait encore en queue de classement en terme de vaccination : 25 700 injections avaient été réalisées en Seine-Saint-Denis le 7 février. Dans la Gironde, qui compte légèrement moins d’habitants, 47 700 personnes avaient été vaccinées, au moins une fois, à la même date.

Un « effet social » dans la surmortalité

Comparer les chiffres à l’ensemble de la population est risqué, puisque la structure de la population est différente d’un département à un autre et que le vaccin n’est pour l’instant accessible principalement qu’aux plus de 75 ans. Or, 5% des Séquano-dyonisiens ont plus de 75 ans, contre près de 9% en Gironde. Cependant, malgré cette jeunesse, la surmortalité a tout de même été plus forte en Seine-Saint-Denis lors de la première vague.

Cette surmortalité a touché avant tout les[…]

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