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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDans son rapport sur l’évolution des effectifs de l'administration territoriale de l'État sur ces dix dernières années, la Cour des comptes ne peut qu’observer la désorganisation des services préfectoraux du fait des suppressions de postes intervenues de 2010 à 2020. Et demande à l’Intérieur d’évaluer plus finement les effectifs de se administrations déconcentrées et de limiter le recours aux contractuels.
La RGPP, revue générale des politique publiques, menée de 2007 à 2011 n’avait déjà pas bonne presse auprès des acteurs publics locaux. Sa successeuse, lancée en 2010, la Réate – pour réforme de l’administration territoriale de l’Etat –, ne rencontre pas un plus grand succès d’estime. Dans un rapport rendu public ce 31 mai, la Cour des comptes écorne en effet la logique qui a mené les différents exécutifs s’étant succédé de 2010 à 2020 à sabrer dans les effectifs de ces administrations territoriales de l’Etat (ATE) au profit des nouvelles directions régionales relevant des périmètres ministériels.
Des services désorganisés
Les chiffres donnent le vertige : 11 000 Equivalents emplois temps plein (EPTP) soit 14% de l'effectif initial de moins en dix ans. Et ce sont les préfectures qui ont le plus souffert :[…]
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