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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéÀ l’occasion de la journée des politiques sociales innovantes au service de la jeunesse (Popsi) organisée par la Caisse des Dépôts, le chercheur Tom Chevalier a présenté au public ses travaux sur les politiques de jeunesse en Europe. Selon sa classification, la stratégie de la France en la matière conduit à une « citoyenneté socio-économique refusée » aux plus jeunes. Décryptage.
Comment peut-on qualifier les politiques de jeunesse menées en France et existe-t-il des modèles plus efficaces ailleurs en Europe ? C’est à ces deux questions que le chercheur du CNRS au laboratoire Arènes, Tom Chevalier, était invité à répondre, mercredi 30 novembre, lors de la conférence de clôture de l’événement Popsi, orchestré par la Caisse des Dépôts.
Si les politiques de jeunesse visent à promouvoir l’autonomie des jeunes dans la société, Tom Chevalier remarque que, partout en Europe, les États s’appuient systématiquement sur deux leviers pour y parvenir : l’accès au marché du travail (citoyenneté économique) et l’accès aux droits sociaux (citoyenneté sociale). C’est dans la manière dont ces politiques sont effectivement activées que des différences vont émerger créant des régimes de « citoyenneté socio-économique »[…]
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