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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLe Cerema deviendra un établissement public officiellement partagé entre l’État et les collectivités territoriales, à compter de début 2023. Cette innovation juridique vise à faciliter l’accès du Cerema – et de ses ressources – aux élus locaux porteurs de projets en matière de développement durable ou de transition climatique. Pour le directeur de la stratégie, Pascal Terrasse, lui-même ancien élu local, il s’agit d’une « coopération inédite » entre l’État central et les territoires.
Courrier des maires : Quelle est la genèse de cette transformation de la gouvernance du Cerema, agence de l’État bientôt au service des collectivités ?
Pascal Terrasse : À sa création, le Cerema avait pour mission de travailler pour le compte des services de l’État et des directions de notre ministère de tutelle c'est-à-dire l'écologie. Mais avec le temps - et les transferts des compétences successifs en direction des collectivités - la question s’est posée de revoir notre stratégie. Au lieu de répondre aux demandes de l’État, le Cerema n’aurait-il pas intérêt à se tourner vers les collectivités territoriales qui traitent ces sujets ? En effet, 70% de nos travaux et de nos ressources portent sur des compétences aujourd’hui exercées par les[…]
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