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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition Abonné« La vie est compliquée, pourquoi l’aménagement du territoire serait-il simple ? » En posant cette question aux députés, le directeur et la présidente de l’Agence nationale des pôles territoriaux et pays (ANPP), ont voulu démontrer que leurs structures n’ajoutaient pas une couche de plus au millefeuille administratif. Pas même au regard des intercommunalités.
Les Pays sont-ils une couche indigeste du millefeuille administratif ? Mercredi 14 décembre, devant la délégation aux collectivités territoriales, Josiane Corneloup, députée (Saône-et-Loire), présidente de l’association nationale des pôles territoriaux et pays (ANPP), et Michaël Restier, directeur de l’ANPP, ont tenté de démontrer le contraire. Pour autant, les députés restent en attente de concret.
Les communes forment des intercommunalités, et ces dernières « se réunissent en pays », chacun comptant en moyenne « 3-4 intercommunalités », a rappelé Josiane Corneloup dans sa présentation. Voici pour la carte organisationnelle fixant l’échelon. Pour plusieurs députés, néanmoins, c’est un nouvel échelon administratif. Ce que la présidente de l’ANPP conteste, en insistant plutôt que le fait que ce niveau « a du sens, car certaines problématiques dépassent[…]
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