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Les nouvelles lignes rouges de Gérard Larcher sur la réforme des institutions

Aurélien Hélias

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Les nouvelles lignes rouges de Gérard Larcher sur la réforme des institutions

Gérard Larcher, président du Sénat, lors de sa conférence de presse de rentrée le 4 septembre 2019 au Palais du Luxembourg

© Aurélien Hélias

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le Courrier des Maires - édition Abonné

Si le président du Sénat juge qu'un accord est proche avec l'exécutif sur la diminution du nombre de parlementaires et la limitation du cumul dans le temps, l'élu des Yvelines fait de la bonne représentation des territoires dans les deux chambres et du refus d'un renouvellement intégral du Sénat des conditions non négociables. Et met la pression sur le Gouvernement pour que celui-ci inscrive la réforme à l'ordre du jour d'une des deux assemblées...

La réforme des institutions fait du surplace et le dernier message envoyé à ce sujet par le président du Sénat, Gérard Larcher, n'augure pas une quelconque accélération. Se posant volontiers en opposant numéro un de l'exécutif, l'élu (LR)  des Yvelines a certes admis des avancées depuis la première version de la réforme présentée il y a près de deux ans : "nous avons trouvé un point d'équilibre sur le cumul dans le temps", à savoir savoir la limitation aux seules communes de plus de 9 000 habitants de l'interdiction de cumuler plus de trois mandats identiques successifs.

Quand à la baisse du nombre de parlementaires, la patron du Sénat fait mine de s'interroger : "qui peut croire qu'une grande réforme échouerait sur une différence de seulement 20 sénateurs ?" alors que 348 siègent[…]

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