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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPour éviter aux femmes victimes de violences conjugales et/ou sexuelles de devoir se rendre au commissariat pour déposer une plainte, les Maisons des femmes seront peu à peu habilitées à recevoir les plaignantes. Mais cela suppose un rapide développement sur le territoire de ces structures médico-sociales.
Comment faciliter la lutte contre les violences intrafamiliales, sexuelles ou sexistes ? Sur le dossier spécifique des violences conjugales – qui ont fait 208 000 victimes en 2021 -, l’exécutif a annoncé le 22 mai vouloir faciliter le dépôt des plaintes dans une démarche d’« aller-vers ». Concrètement, il s’agirait de faciliter le dépôt de plainte en évitant à la victime un déplacement, « notamment lorsque son état physique ou psychique ne le permet pas », dans un commissariat ou une gendarmerie, et ce en rendant possible le dépôt de plaintes dans les Maisons des femmes. A l’image de celle de Seine-Saint-Denis où cette convention a été dévoilée le 22 mai, ces structures adossées à des centres hospitaliers et qui ont vocation à accueillir les femmes victimes de violences en les prenant en charge de manière pluridisciplinaire, offriraient ainsi dispositif de prise de plainte en mobilité.
Doubler le nombre de Maisons[…]
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