Antoine Homé lors du débat finances locales au Congrès des maires le 24 novembre 2022
© fabien calcavechia
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDégrader l’autofinancement ou les services ? Rogner sur l’investissement ou tordre les dépenses de fonctionnement ? Face à une équation budgétaire complexe, les édiles sont venus témoigner le 24 novembre au Congrès des maires de leurs marges de manœuvre restreintes et des choix cornéliens à réaliser. Morceaux choisis.
Les perspectives des finances communales évoquées lors du traditionnel débat dédié par le Congrès des maires sont rarement euphorisantes. L’édition 2022 n’a pas fait exception. « C’est encore plus difficile que d’habitude », a lancé d’emblée Antoine Homé, maire de Wittenheim (Haut-Rhin) et co-président de la commission finances de l’AMF. Et de détailler, « une inflation extrêmement présente, les prix de l’énergie qui explosent, les taux d’intérêt qui remontent, les difficultés d’acheminement des matières premières… » Autant d’éléments qui caractérisent « un changement de notre modèle économique. »
Les maires y sont confrontés au quotidien, avec des réductions du levier fiscal et des marges de manœuvre qui ont incité à la constitution d’une épargne de précaution, tant les élus locaux redoutent des lendemains qui déchanteraient encore plus. L’embellie n’est pas à[…]
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