Le président de l'AMF David Lisnard à l'ouverture du Congrès des maires 2022 le 22 novembre
© fabien calcavechia
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéEn ouverture du Congrès des maires le mardi 22 novembre, David Lisnard s’est montré exigeant mais bienveillant à l’égard tant du chef de l’Etat que de l’action du Gouvernement Borne. Sans oublier toutefois de souligner dans un second temps les dossiers qui fâchent, essentiellement financiers. Un chapitre sur lequel le numéro 2 de l’association, André Laignel, a été plus saignant encore…
« Notre devoir d’agir se heurte à nombre de blocages : avons-nous le pouvoir d’agir ? Il est entravé. » D’emblée, à l’ouverture du Congrès des maires et notamment lors du débat d’orientation générale, le président de l’AMF David Lisnard s’est voulu pédagogue, se faisant l’exégète de la thématique du Congrès 2022. Avec comme cible première, la « tutellisation financière et jurdico-administrative. On est de plus en plus entravés, c’est l’effet de la bureaucratisation depuis 40 ans ».
Ce regret n’a pas empêché le maire LR de Cannes de se montrer très constructif s’agissant des relations Etat-collectivités, louant le « respect » montré par le Gouvernement Borne à l’endroit de l’AMF, de bonnes relations et des « avancées » obtenues au fil de l’eau lors des négociations, par exemple sur[…]
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