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D’abord dubitatifs face à la création de nouveaux instruments de planification, les élus semblent finalement adhérer au souhait de l’exécutif de se projeter dans l’avenir. Tout en restant sur leurs gardes en raison de nombreuses inconnues, la plupart participent ainsi aux ateliers du Conseil national de la refondation (CNR), tablant sur une planification ascendante ou du moins circulaire entre les collectivités et l'Etat, qu'ils puissent alimenter en tout cas par leurs expertises territoriales. S'ils souhaitent contenir les déceptions, la Première ministre et le gouvernement échapperont difficilement, néanmoins, à une vaste reconfiguration de la « machinerie » politico-administrative...
Et l’Etat planificateur renaquit de ses cendres… Après avoir récupéré dans l'entre-deux tours de l'élection présidentielle le concept popularisé poussé par Jean-Luc Mélenchon, à l'issue d'une campagne pauvre en idées, le candidat Emmanuel Macron redevenu président a délibérément placé son second quinquennat sous le sceau de la planification. Dans une version actualisée et quelque peu repensée par rapport au Commissariat général au Plan – actif au sortir de la Seconde Guerre mondiale et tout au long des Trente Glorieuses... Objectif affiché par[…]
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