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le Courrier des Maires - édition Abonné
Contrôle des bénéficiaires du RSA, mineurs étrangers isolés, avenir des caisses d‘allocations familiales… Le groupe de gauche n’a pas souhaité voter le 6 octobre à Poitiers la motion de l’Assemblée des départements de France consacrée aux questions sociales. Le signe d’un durcissement des postures politiques à l’approche des échéances électorales de 2017, mais pas uniquement…
Les questions sociales, ligne de fracture au sein de l’Assemblée des départements de France ? C’est du moins ce qui est apparu jeudi 6 octobre au congrès de l’association d’élus à Poitiers.
Si la plupart des départements se sont montrés critiques, même à des degrés divers, sur la loi Notre et son application ; si le groupe de gauche s’est résolu in fine à signer une motion, avec la majorité de droite, réclamant, en vain, à l’Etat un fonds d’urgence de 400 millions d’euros et non la moitié comme prévu aujourd’hui, le groupe minoritaire dirigé par André Viola s’est refusé à prendre part au vote sur la motion « sociale ».
« De trop grandes différences existent dans nos visions des politiques de solidarité. Nous ne pourrons pas adopter une plateforme commune. Celle qui sera adoptée ici sera donc uniquement celle de la[…]
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