Ruralité, Bourgogne
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéObjectif 2050 pour le "Zéro artificialisation nette" (ZAN). Inscrit dans le projet de loi « Climat et résilience », adopté à l'Assemblée et que le Sénat examine à son tour cette semaine, le déploiement ce principe se heurte pourtant à une absence de définition et de modèle économique. Décryptage à la lumière des difficultés rencontrées sur le terrain par les élus pour mettre en œuvre ce "ZAN".
Trois lettres pour une révolution à venir de l’aménagement du territoire à la française… ZAN. Né du Plan biodiversité de 2018, le concept de zéro artificialisation nette a été repris par la Convention citoyenne pour le climat puis dans le projet de loi « Climat et résilience ». Ce texte fixe un cap à 2050, pour « atteindre l’objectif d’absence de toute artificialisation nette des sols ». En attendant ? La notion mérite d’être définie… Y compris le terme artificialisation considéré en 2019, comme « difficile à cerner » et « polymorphe », selon France Stratégie. Pour le ministère de la transition écologique, cette notion vise « à transformer un sol naturel, agricole ou forestier, par des opérations d’aménagement pouvant entraîner une imperméabilisation partielle ou totale, afin de les affecter notamment à des fonctions[…]
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