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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéBercy et Matignon ont affiché leurs objectifs le 19 juin lors des assises des finances publiques : réaliser 10 milliards d’économies d’ici 2027. Et si les collectivités locales n’ont pas été citées en tant que telles pour mettre la main à la poche, la volonté affichée par l’exécutif de « maitrise des dépenses », notamment « de l’emploi public », et de piocher dans leurs recettes sous couvert d’assurer leurs risques, peuvent inquiéter les élus et leur associations. Certaines, pressentant le message, avaient boycotté le rendez-vous, et les autres n'apparaissent pas plus rassurées...
Le poids du passé et celui de l’avenir : voici les deux principales raisons invoquées par Elisabeth Borne, à l’heure de conclure les assises des finance publiques le 19 juin pour justifier sa volonté de ramener le déficit public à 2,7% du PIB en 2027 contre 4,7 % aujourd’hui. La passé, c’est celui de l’héritage du « quoi qu’il en coûte », ligne de conduite adoptée rapidement lors de la crise sanitaire pour soutenir une économie – et ses emplois – mise soudainement à l’arrêt. « Si nous assumons d’avoir protégé massivement les Français, ces décisions ont eu des conséquences sur notre déficit et notre dette et nous devons désormais[…]
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