logement, urbanisme, HLM, logement social
© M. Kis
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le Courrier des Maires - édition Abonné
La loi Elan incite les bailleurs sociaux à vendre une partie de leur patrimoine vacant pour renflouer leur trésorerie et favoriser l’accession à la propriété. Est-ce une mesure favorable au parcours des locataires ou risque-t-elle de créer des copropriétés en difficulté et d’aggraver les inégalités ? Deux élus locaux en débattent.
« Nous sommes très vigilants sur la capacité des candidats à l’accession à rembourser leur prêt »
Denis Jullemier, vice-président (LR) de Seine-et-Marne chargé de l’habitat et président d’Habitat 77
«Vendre des logements, c’est permettre aux locataires du parc social d’avoir un parcours résidentiel et d’accéder à la propriété à des prix inférieurs à ceux du marché. Pour l’office HLM, les ventes apportent des fonds qui sont réinjectés dans des programmes neufs. Attention, tout le patrimoine ne peut pas être cédé. Les pavillons sont plus attirants. Vendre des logements collectifs situés dans de grandes barres, c’est courir le risque de créer des copropriétés en difficulté. Nous sommes très vigilants sur la capacité des candidats à l’accession à rembourser leur prêt. Habitat 77 vend seulement de 30 à 40 logements par an, sur un total de 18 000. Et le maire doit donner son[…]
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