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le Courrier des Maires - édition Abonné
Les territoires ruraux entendent bien capitaliser sur le tourisme vert, en plein essor depuis la crise sanitaire. Cela passe par une offre structurée, la professionnalisation des acteurs et un « slow tourism » bien appréhendé.
L’envie de vert, un feu de paille depuis la fin des confinements ? Aucunement ! Entre les étés 2020 et 2021, les séjours à la campagne des Français se sont maintenus à 30 % des parts de marchés, en hausse par rapport à 2019 (1). Leurs nuitées ont même progressé de 6,4 % pour le secteur rural selon l’agence de développement touristique Atout France. Et 2022 s’annonce sous les mêmes auspices : 37 % des Français souhaiteraient passer leurs vacances à la campagne selon ADN Tourisme, qui regroupe les acteurs institutionnels du secteur.
Reste, pour les territoires ruraux, à développer leur stratégie. Celle-ci peut être assise sur une marque propre : « Vichy mon amour » mise sur les sports de pleine nature et la randonnée, Cœur Sud-Ouest sur un livre collectif réunissant cinq appellations viticoles dans le Gers. « Avec la crise sanitaire, la complémentarité prend le dessus sur la concurrence, estime Emily Augade, directrice de cet office de tourisme. Nous comptons aujourd’hui 250[…]
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