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Sans avoir la prétention de tirer un bilan définitif de la mise en place des vingt-deux métropoles, les rapporteurs d’une mission-flash du Sénat ont pointé un certain nombre de dysfonctionnements. Les quatre sénatrices ayant planché sur la question déplorent le manque
de rigueur dans la répartition des compétences entre ces grandes intercommunalités urbaines et leurs communes-membres, ainsi que le manque de coopérations avec l’extérieur se traduisant par un effet d’entraînement tout relatif des villes petites ou moyennes voisines.
Personne ne pourra reprocher une forme d’inconstance au Sénat. Amenée dans le cadre de la mission-flash « Métropoles : pour de nouvelles dynamiques territoriales » à prendre la température et poser leurs regards sur les premières années des vingt-deux groupements urbains, les sénatrices Dominique Estrosi-Sassone (LR, Alpes-Maritimes), Michelle Gréaume (PCF, Nord) et Sylvie Robert (PS, Ille-et-Vilaine), accompagnées pour l’occasion par la présidente de la délégation sénatoriale aux collectivités Françoise Gatel, sont restées dans la droite ligne de la colonne vertébrale idéologique en vigueur au Palais du Luxembourg.
Voyant dans les métropoles « l’expression la plus aboutie du mouvement[…]
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