Début mai, la filiale française de l’entreprise turque de livraison Getir a été placée en redressement judiciaire.
© Donald Trung Quoc Don/Wikimedia commons, CC BY-SA
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLa récente décision du Conseil d'Etat suivi du décret gouvernemental les visant vont-ils mettre fin aux dark stores et dark kitchens et les pratiques de consommation urbaine que ces magasins "fantômes" nourrissent ? Ce nouveau cadre juridique conjugué à un modèle économique chancelant et à la concurrence des drives piétons le laissent penser. Mais les hérauts du quick commerce n'ont pas encore rendu leurs armes, ne serait-ce que du fait des pratiques de consommation des jeunes générations, soulignent deux universitaires experts en logistique urbaine.
Par Aurélien Rouquet, Neoma Business School et Gilles Paché, Aix-Marseille Université (AMU), article issu du site The Conversation.
Cajoo, Dija, Gopuff, Koll, Zapp, Gorillas, Frichti, Zap, Getir, Flink, Yango Deli… Ils étaient nombreux il y a deux ans à être sur la ligne de départ et à vouloir introduire en France le « quick commerce », la livraison rapide de courses à domicile. Aujourd’hui, après une vague de rachats et l’arrêt de plusieurs initiatives, seuls le turc Getir et l’allemand Flink continuent leurs opérations en France.
Or, selon le Financial Times, Getir serait à présent en pourparlers avec Flink pour racheter son concurrent, ce qui conduirait à ce que ne persiste à terme[…]
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