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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLe Conseil constitutionnel a été saisi de deux questions prioritaires de constitutionnalité remettant en cause la légitimité de la tenue du premier tour. Faible taux de participation et délai très long entre les deux tours sont notamment mis en cause.
Un seul tour mais déjà deux questions prioritaires de constitutionnalité s’attaquant, sous des angles divers, à la légitimité de sa tenue…. Le premier tour des municipales qui s’est déroulé le 15 mars en plein début de crise sanitaire fait l’objet d’une contestation protéiforme. D’abord via la QPC transmise par le tribunal administratif de Nice au Conseil d’Etat le 20 avril, qui l’a lui-même transféré au Conseil constitutionnel le 25 mai. Soulevée dans le cadre d’une demande d’annulation des élections à La Brigue, village de 800 âmes niché dans les Alpes-Maritimes, cette QPC remet en cause l’article 19 (I, III et IV) de la loi du 23 mars 2020 d’urgence « Covid-19 » qui repoussa la tenue du second tour « au plus tard au mois de juin » - le 28 juin in fine - tout en validant les résultats issus du 15 mars.
Les "conditions particulières" du scrutin épinglées
Soit un délai de 15 semaines entre les deux tours qui méconnaîtrait, selon les requérants, les principes de[…]
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