© © C. KOHLER - VILLE DE MULHOUSE
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPartout en France, le développement du e-commerce, l’inflation et la surdensité commerciale en périphérie représentent des menaces de choix pour le futur du commerce de centre-ville. Quels effets la crise sanitaire a-t-elle d'ores et déjà eu sur le tissu commercial ? Et comment les collectivités envisagent-elles l’avenir ? Le Courrier des maires fait le point avec la maire (LR) de Mulhouse, ancienne exploitante d’un salon de coiffure investie au sein d’une chambre consulaire, qui copréside aujourd’hui la commission « Economie des territoires » de l’association d’élus France Urbaine.
Courrier des Maires : l’absence de vague de dépôts de bilan et de liquidations judiciaires au sortir de la crise sanitaire, et la baisse continue de la vacance commerciale, permettent-elles de dire que les centres-villes commerçants français sont définitivement sauvés ?
Michèle Lutz : C'est un peu tôt. Je dirais plutôt : jusqu'ici, tout va bien. Du moins dans les villes grandes et moyennes, où l'on constate plus d’enseignes qui ouvrent que d’enseignes qui ferment, sur la période récente. Nombre de commerçants bénéficient de dispositifs nationaux (Action cœur de ville) ou locaux (aide à la digitalisation des commerces, managers de centre-ville, etc)[…]
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