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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAuditionné mercredi 16 mai par la commission des lois du Sénat, Yannick Morez, le maire démissionnaire de Saint-Brévin, est revenu point par point sur l’enchaînement ayant conduit à sa démission. Et pointe du doigt tant les préfets que l’institution judiciaire et la gendarmerie locale. S’il espère désormais tourner la page, il veut parler au nom des autres maires en souffrance.
Il est devenu malgré lui un symbole. Le symbole d’une démocratie locale malmenée. Aussi, avant de revenir à la vie civile, Yannick Morez espère faire bouger les choses… pour les autres élus. Après que Maryse Carrère (PRG, Hautes-Pyrénées) qui préside la mission d’information sur l’avenir de la commune, l’a invité à expliquer ouvertement « ce qu’il s’est passé mais aussi ce qui n’est pas passé et qui aurait dû être fait », le maire de Saint-Brévin a livré le récit d’un véritable engrenage.
Tout commence le 11 mars 2021 lorsque le sous-préfet de Saint-Nazaire, invité dans la commune pour visiter un bunker restauré, annonce à Yannick Morez la fermeture de l’Huda (hébergement d’urgence pour demandeurs d’asile) installé dans la commune depuis 5 ans en vue de l’ouverture d’un centre plus pérenne : un Cadan centre d’accueil pour[…]
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