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L’anticipation est de mise : les collectivités ont tout intérêt à « maîtriser » le foncier, c'est-à-dire acheter des terrains le plus en amont possible, pour les réserver à la construction de logements. Pour cela, les Etablissements publics fonciers (EPF), qu’ils soient d’Etat (régionaux) ou locaux, sont des appuis de taille.
Les collectivités sont libres d’y adhérer ou non en signant une convention. Certaines refusent, car cela implique de verser un impôt à cet établissement, et elles préfèrent préempter directement. Ainsi, jusqu’en 2019, Bordeaux métropole n’avait pas signé de convention avec l’EPF régional : « C’était la volonté de la précédente mandature, s’étonne Stéphane Pfeiffer, adjoint au logement. Depuis deux ans donc, l'agglo adhère à l’EPF régional, lequel accompagne la ville et la métropole pour identifier du foncier disponible, pour le préempter. » Maire (Horizons) de Saint-Berthevin (Mayenne, 7 600 hab.), dans l’agglo de Laval, Yannick Bordes s’appuie sur des outils similaires :[…]
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