ResidenceSecondaire
© adobestock
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
Les Français semblent avoir pris conscience du potentiel de certains villages de Bretagne, du Morvan, de la Normandie, du Perche ou encore du Pays Basque. Et si le record des ventes immobilières enregistré en 2020 cachait majoritairement des achats de résidences secondaires ? Et si l’exode urbain n’était finalement qu’un rideau de fumée ? Pour les élus et les habitants des territoires en vogue, le réveil pourrait être... amer, avec de nombreux effets pervers.
L’« exode urbain », si « exode urbain » il y a, ne sera pas forcément un long fleuve tranquille. Parmi les nombreuses inconnues entachant ce phénomène, une question stratégique demeure particulièrement floue : la hausse des volumes de ventes de logements anciens constatée depuis le début de la crise sanitaire par les notaires se traduit-elle par un afflux permanent de familles bien décidés à y vivre à plein-temps ? Ou est-elle gonflée artificiellement par des nouveaux ménages à fort pouvoir d’achat, profitant des possibilités nouvelles offertes par le télétravail pour s'offrir des résidences secondaires ? Auquel cas, ce rebond momentané du marché de l’immobilier ne règlerait pas franchement les problématiques de l’ensemble des villages et villes petites ou[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr