Election, vote
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le Courrier des Maires - édition Abonné
A deux mois du premier tour de la présidentielle, la dichotomie entre les candidats au programme largement documenté et chiffré et ceux qui préfèrent esquisser quelques grandes priorités est toujours de mise. Pour combien de temps encore?
Qu’attend-on d’un candidat à la présidentielle ? Un programme ou une vision ? Une planification de son quinquennat ou un chemin à suivre ? Un large corpus de mesures ou quelques priorités clairement énoncées ? A moins de trois mois du premier tour, le tableau des forces en présence est toujours aussi « équilibré ». D’un côté, les tenants de l’inventaire à la Prévert, chiffrant tout, quelle que soit la mesure, pourcentages, objectifs et références statistiques à l’appui. De l’autre, on privilégie quelques grandes orientations et lignes directrices, à même de mieux « imprimer » dans l’électorat.
Deux poids deux mesures. Dans les deux cas, les critiques sont tout aussi partagées. Les champions de l’exhaustivité, qui n’oublient aucun champ de l’action publique, sont accusés de manquer de vision globale pour l’avenir du pays, de livrer une liste indigeste et de n’envisager la plus haute fonction de l’Etat que sous l’angle du super-gestionnaire. Les visionnaires se retrouvent,[…]
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