© Olivier Schneid
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLa deuxième réunion organisée dans le cadre du débat public sur un nouveau programme nucléaire a fait salle comble mardi 8 novembre, à Paris. Dans une ambiance bon enfant, pro et anti se sont logiquement opposés. Mais, alors que ce processus vise à « éclairer » les parlementaires avant la future loi de programmation Energie-Climat, seul un député était présent. Et les élus locaux ont brillé par leur absence…
A l’entrée de la grande salle de conférences de la Maison des associations de solidarité, dans le treizième arrondissement de Paris, mardi 8 novembre, à 18h30, un comité d’accueil constitué de militants antinucléaires venus de La Hague (Manche) attendait de pied ferme les participants. Quelques dizaines de minutes plus tard, ils obtiennent d’intervenir en préambule de la réunion publique organisée par la commission particulière du débat public (CPDP) sur le projet d’EDF de construire six réacteurs nucléaires EPR2, à l’horizon 2035-2037 pour la première paire à Penly (Seine-Maritime) et d’ici au milieu des années 2040 pour l’ensemble. Ces activistes ont dénoncé l’existence même du débat, le qualifiant de « coquille vide », de « théâtre dans lequel l’Etat et EDF jouent les marionnettistes » et la Commission[…]
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