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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLe 7 décembre dernier, la préfète d’Indre-et-Loire, Marie Lajus était démise de ses fonctions par décret. Une semaine plus tard, la presse révélait que la pression exercée par certains élus locaux auprès du ministre de l’Intérieur ne serait pas étrangère à ce départ précipité… Des révélations qui interrogent a minima sur l’équilibre actuel du binôme « maire-préfet ».
Le cas « Lajus » marque-t-il un tournant dans la relation « maire-préfet » ? Depuis les révélations du « Canard Enchaîné », une partie de l’écosystème territorial n’en finit pas de fulminer. Dans une tribune publiée dans Le Monde le 26 décembre, des acteurs de la société civile, des élus locaux ainsi que des fonctionnaires dénoncent en effet l’éviction brutale, qu'ils jugent injuste, de cette préfète dont le seul tort aurait été de faire respecter le droit de l’urbanisme sur un projet d’implantation d’incubateur de start-up. Et ainsi de faire primer l’intérêt général sur les intérêts particuliers du promoteur privé du projet, soutenu par certains élus voyant dans ce projet un enjeu économique d’intérêt supérieur au droit environnemental en place.
Préfet, « un mandat de 7 jours »
Pour Romain Pasquier, politologue, interrogé[…]
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