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Le cabinet fantôme municipal, ou comment aller au-delà du rôle de « spectateurs critiques »

Soutra
Le cabinet fantôme municipal, ou comment aller au-delà du rôle de « spectateurs critiques »

Conseil municipal

© Flickr-CC-Dorange

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Comment les élus minoritaires peuvent-ils dépasser les contraintes inhérentes à leurs fonctions ? A Caen, l’opposition écologiste a constitué un « shadow cabinet » avec de « vrais-faux » adjoints au maire. Pour Rudy L'Orphelin, responsable (EELV) de l'opposition, « seule la force du collectif nous permettra de contribuer efficacement à la vie de la municipalité »

Le PS en 2007, puis le Modem en 2010, LR ou le RN en 2018.… Plusieurs partis ont tenté, sans grands succès, d’instaurer des gouvernements fantômes lorsqu’ils étaient dans l’opposition. A l’échelle locale, la pratique demeure rare. Certains candidats nomment bien des référents thématiques pour les aider à rédiger leurs programmes, sans réitérer ce mode de fonctionnement original ensuite. L’équipe de « Caen écologiste et citoyenne » et sa tête de file Rudy L’Orphelin sont les premiers à introduire un « shadow cabinet » au sein d’un conseil municipal en France. Avec 25,5 % des voix et 8 élus sur 55, cette orchestration du travail de l’opposition a d’ores et déjà été l’occasion de mettre en lumière la « concentration excessive des pouvoirs aux mains des maires » selon eux. A l’avenir, elle doit surtout permettre de surveiller plus efficacement[…]

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