A Colomiers (Haute-Garonne), l’exécutif emmené par Karine Traval-Michelet a choisi d’organiser des réunions publiques pour exposer son bilan de mandature.
© A. FOKS / Ville de Colomiers
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéRendre compte de son action est un exercice quasi incontournable, malgré les contraintes que fait peser le code électoral sur les candidats. Sur la forme, le tropisme participatif de certains maires devrait essaimer.
Les citoyens demandent à ce que les élus rendent compte, voire rendent des comptes. Alors, pour répondre à cette exigence de transparence, l’inventaire de fin de mandature est devenu incontournable. Il est par ailleurs un bon moyen de légitimer le mandat donné par des électeurs. Mais cette figure imposée de chaque fin de mandat n’est pourtant pas encore inscrite à l’agenda des maires.
Un an tout juste avant les prochaines échéances électorales, rares sont les édiles à s’être déjà attelés à la tâche. Certains viennent à peine de présenter leur bilan de mi-mandat, d’autres refusent à ce stade de communiquer, liant celui-ci à une candidature encore hypothétique ou qu’ils n’ont pas encore annoncée, le contexte politique mouvant n’incitant pas à se déclarer trop tôt. La faute aussi aux changements de périmètres qui relèguent la démarche au second plan, comme l’évoque Mickaël Vallet, maire de la commune nouvelle de Marennes-Hiers-Brouage (Charente-Maritime). « L’enjeu cette année n’est pas tant de[…]
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