Abonné

Le bassin de vie, une utopie réaliste pour dépasser les égoïsmes

Denis Solignac
Le bassin de vie, une utopie réaliste pour dépasser les égoïsmes

Vue sur Le Puy-en-Velay (Haute-Loire)

© Flickr-CC-Patricia

Pour lire l'intégralité de cet article,

abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné

Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition Abonné

L’intercommunalité épouse rarement les contours du bassin de vie, tel que défini par l’Insee. Les élus eux-mêmes, arpenteurs experts de leur territoire, élargissent leur vision du bassin de vie et de son développement en y privilégiant les coopérations souples.

Interrogez un maire sur ses projets de transport, de logement, ses réflexions sur l’emploi, l’urbanisme commercial, les évolutions de l’intercommunalité, du pays… il vous répondra presque toujours bassin de vie. Une notion bien pratique, mais peu définie. Que recouvre-t-elle en réalité, au-delà de la définition officielle de l’Insee (lire ci-dessous) ?

Pour justifier cet usage, les maires avancent leur bonne connaissance des usages des habitants pris dans leur ensemble. Or, le territoire vécu par un habitant n’est pas le même que celui vécu par l’ensemble de ses voisins, ainsi que le montre une recherche menée par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme (IAU) d’Ile-de-France, qui pose la question : « Quelle réalité du bassin de vie ? »((« Coupes et découpes territoriales. Quelle réalité du bassin de vie ? ». Les cahiers n° 172 de l’IAU d’Ile-de-France.)).

A lire. Les témoignages de Pierre Jarlier, maire de Saint-Flour (Cantal)[…]

Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous

Déjà abonné ?

Mot de passe perdu

Pas encore abonné ?

Besoin d’aide pour vous connecter ?

Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr

FORMATIONS