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La tarification au revenu pour doper la mobilité

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La tarification au revenu pour doper la mobilité

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La tarification sociale des transports en commun suppose de prendre en compte les revenus, plus que les statuts. De quoi augmenter la fréquentation, sous réserve de mieux contrôler
la fraude.

La tarification sociale et solidaire des transports progresse par une « prise en compte, non plus des statuts (chômeurs, retraités, bénéficiaires des minima sociaux, deuxièmes ou troisièmes enfants…), mais des revenus de chacun ou des ménages », selon Yann Mongaburu administrateur au Groupement des autorités régulatrices des transports (Gart) et vice-président aux déplacements à Grenoble-Alpes Métropole. Considérer le statut avait en effet des inconvénients notoires : « Avec notre ancien tarif Tempo, un demandeur d’emploi dont le conjoint avait un bon revenu, bénéficiait de la gratuité… », explique Bertrand Affilé, vice-président de Nantes métropole en charge des transports publics et déplacements. « Un retraité à bon revenu bénéficiait de la gratuité, comme un travailleur pauvre », ajoute Alain Fontanel, président de la Compagnie des transports strasbourgeois. De plus, les démarches de régularisation, souvent trimestrielles, étaient lourdes, tant pour l’usager que pour le service public.

Le quotient familial, meilleur[…]

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