Ecole
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéFace à la baisse de la démographie scolaire, faut-il regrouper les écoles pour maintenir la qualité de l’enseignement ou innover pour conserver leur maillage ? Sur fond de moratoire des fermetures, deux conceptions s’affrontent.
C’était une mesure prise par le président de la République dans la foulée de la crise des Gilets jaunes : depuis septembre 2019, plus aucune école ne peut fermer sans l’avis favorable du maire, même si des classes peuvent être supprimées. Pour le sénateur de l’Ariège Alain Duran, qui était chargé de la mise en place des conventions ruralité pour l’école jusqu’en septembre 2020, « c’est démagogique, l’école nécessite une approche globale au-delà de la commune ». Selon le ministère de l’Education nationale, entre 2011 et 2020, les effectifs des écoles ont baissé de 8,4 %. Le sénateur avait donc été chargé en 2015 de faire advenir des conventions favorisant les regroupements pédagogiques intercommunaux (RPI), dispersés ((Plusieurs écoles conservent chacune un niveau de classe sur leur site.)) et surtout concentrés (( Plusieurs écoles se regroupent sur un site.)), ou parfois entre collège et école, une mission prorogée par Edouard Philippe. « En maintenant des classes multi-niveaux, on[…]
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