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le Courrier des Maires - édition Abonné
L'annonce par Elisabeth Borne de « France Nation verte » est arrivée bien tard, de même que celle le 14 novembre du choix de la région Sud comme laboratoire de la planification écologique. Et le précédent du plan de sobriété énergétique fait craindre une action trop timide...
Il aura fallu attendre six mois depuis que le candidat Macron a opportunément fait sienne la planification écologique durant l’entre-deux tours de la présidentielle, entrecoupés d’un été marqué par de nombreux épisodes de canicules et de sécheresses, pour obtenir quelque chose d’un tant soit peu tangible. La Première ministre a enfin lancé, le 21 octobre, la planification écologique. Ou, tout du moins, a-t-elle levé un voile sur la méthode de « France Nation verte », faite de concertations sectorielles et avec la volonté, maintes fois répétée, d’avancer par étapes. Prudence légitime, souci d’avancer de manière organisée ou procrastination déplacée ?
Petit bras. Certes, Elisabeth Borne a affiché sa volonté d’« agir sur tous les fronts », en engageant « des changements radicaux dans nos manières de produire, de consommer, d’agir ». Mais l’insistance de la locataire de Matignon à segmenter le calendrier, les consultations – « dans[…]
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