Ecologie, espace public
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLa percée indéniable des candidats d’EELV dans les grandes villes aux municipales a quelque peu éclipsé une progression similaire et parfois même antérieure du vote vert dans de plus petites communes. Et si le profil des écolos des champs et de ceux des villes n’est pas toujours identique, les édiles verts semblent partager une même ligne politique, malgré des territoires d’élection radicalement différents.
Melle (79), Villeneuve-lès-Béziers (34), Sausset-Les-Pins (13), Cabriès (13), Coublevie (38), Nilvange (57), Saint-Maixent-l’Ecole (79)… Elles ont des noms moins ronflants que les grandes villes de Strasbourg, Bordeaux, Lyon ou même Poitiers. Elles aussi ont pourtant choisi de mettre à leur tête un maire « écolo » mais à une échelle de population bien moindre, ce qui ne leur a pas permis de truster les débats des éditorialistes politiques des chaînes d’information le 28 juin au soir…
En tout, pas moins d’une vingtaine de villes de 10 000 à 30 000 habitants, et bien plus encore de villages, ont contribué à grossir la « vague verte », venant contredire l’idée que le vote écolo ou EELV n’a été qu’un vote de classe de bobos citadins…
Le vote « vert » s’est démocratisé
« Oui, il y a une classe[…]
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