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"La LOM offre une boîte à outils aux élus pour répondre à la crise des Gilets Jaunes"

Hugo Soutra

Charles-Eric Lemaignen, vice-président de l'AdCF

© CA Orléans-VDL

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Les politiques locales de transports se sont imposées en quelques années comme une priorité des élus urbains. Elles le deviennent pour les habitants et représentants des territoires périurbains et ruraux. 900 communautés de communes réfléchissent actuellement à s’investir davantage encore dans ce secteur en devenant Autorité organisatrice de la mobilité (AOM). Une décision stratégique qui doit être mûrement réfléchie, selon Charles-Eric Lemaignen, vice-président aux mobilités et toujours très investi au sein de l'Assemblée des communautés de France (AdCF).

La LOM pose un ultimatum aux communautés de communes pour devenir ou non Autorités organisatrices de la mobilité (AOM) d’ici mars 2021. Quel est le véritable enjeu de ce choix pour les élus ?

Charles-Eric Lemaignen : Longtemps considérée comme technique, la question des mobilités est devenue un enjeu politique majeur. On l’a vu avec la crise des Gilets Jaunes, lors du confinement ou dans le cadre des campagnes municipales avec les querelles sur la gratuité des transports collectifs. Les mobilités représentent également l’un des principaux points sur lequel se cristallisent les tensions entre métropoles et zones moins denses. Bref, ces politiques qui se pensent[…]

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