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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéC’est un des marronniers des élections présidentielles : les effectifs de la fonction publique. Pour autant, si depuis plusieurs semaines, les candidats se déchirent à coup de petites phrases sur la question de la réduction - ou non - du nombre de fonctionnaires, ils n’ont pour l’heure pas dressé de programme d’ampleur pour réformer la fonction publique, notamment la FPT.
Ils sont loin d’être au cœur du débat, mais ils n’en sont pas moins une des pommes de discorde. Quinquennat après quinquennat, les fonctionnaires continuent d’être un sujet de campagne électorale sensible, une ligne de démarcation gauche-droite sur laquelle les candidats s’affrontent en prenant garde de ne pas se brûler les ailes.
Valérie Pécresse a été la première à oser lancer le débat, dès l’automne 2021, lors de la campagne pour désigner le candidat du parti Les Républicains (LR) en promettant de supprimer 200 000 postes « dans l’administration administrante de l’État et des collectivités locales » en cinq ans et d’en créer 50 000 « pour servir les missions essentielles de l’État (l’éducation nationale, la police, la justice avec notamment des postes de greffiers ou encore l’hôpital avec des postes de soignants). » En[…]
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