drone, surveillance urbaine, vidéosurveillance
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDurant le confinement, certaines communes ont plébiscité l’usage de vidéosurveillance, caméras thermiques ou drones pour assurer la sécurité de leur population. Des outils dont l’impact sur les libertés publiques interroge.
Lorsqu’ils reprennent le chemin de l’école début septembre, les élèves du lycée agricole Louis-Pasteur de Marmilhat, situé à Lempdes (Puy-de-Dôme), reçoivent un accueil particulier. Une caméra thermique, installée à l’entrée de l’établissement. Son but : scanner leur température corporelle pour détecter s’ils sont porteurs du Covid. Une expérimentation lancée par la région Auvergne-Rhône-Alpes dans trois lycées, sous l’impulsion de son président Laurent Wauquiez.
Au cours du confinement, plusieurs communes ont utilisé les caméras disposées sur la voie publique pour s’assurer du respect des consignes sanitaires. En partenariat avec la société Datakalab, le maire de Cannes David Lisnard (Les Républicains) -qui n’a pas souhaité répondre à nos questions - a expérimenté un logiciel détectant le port du masque. « Les équipes peuvent aller au-devant des Cannois pour une action pédagogique, bienveillante et citoyenne, les incitant au port du masque », justifiait la municipalité dans un[…]
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