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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéSi la santé financière des villes de moins de 25 000 habitants était globalement bonne en 2021, celle des plus de 10 000 âmes, supportant des charges de centralité, devrait avec la crise énergétique voir leur situation se dégrader rapidement. Au point de renoncer totalement à investir, alerte l’Association des Petites Villes de France (APVF), chiffres à l’appui.
Après une année 2020, totalement atypique d’un point de vue financier car marquée par les différents confinements et donc l’arrêt des recettes des produits de services pour les communes (services périscolaires, sportif, stationnement, etc.), l’année 2021 était celle de la « reprise » pour les collectivités. Une bonne santé financière qui ne doit pas occulter les difficultés à venir pour certaines petites villes.
Car malgré le rebond de l’épargne brute et de leurs investissements l’année dernière (voir encadré) mis au jour par la 8e édition du baromètre « Regard financier sur les petites villes », présentée le 6 décembre par l’APVF et la Banque postale, les signes d’une certaine fébrilité sont pourtant présents dans les comptes 2021. Notamment au travers de cette tendance des petites villes à systématiquement « sur-financer » leurs investissements et[…]
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